Sur Les Glaneurs et la Glaneuse, l’efficacité et le vagabondage

Date
2017
Journal Title
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Publisher
Producer
Director
Performer
Choreographer
Costume Designer
Music
Videographer
Lighting Designer
Set Designer
Crew Member
Funder
Rehearsal Director
Concert Coordinator
Moderator
Panelist
Alternative Title
Department
Swarthmore College. Dept. of Modern Languages & Literatures
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fr
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Après quatre minutes et demie du film Les glaneurs et la glaneuse, Agnès Varda apparaît dans le plan. Elle est debout devant un tableau e connu, celui des glaneuses de Jean-François Millet, complété en 1857. Sur l’épaule Varda soulève un épi de blé (fig. 1). Elle reflète bien l’image qui vient de rester à côté d’elle, de la glaneuse seule et fière de Jules Breton devant un orage. Mais après un bref regard vers la caméra vidéo numérique—nouvelle en 2000—elle laisse tomber l’épi de blé et fait monter sa propre caméra vidéo numérique (fig. 2). Cette localisation du rôle de réalisatrice de Varda nous signale deux choses : une, qu’elle rend explicite le lien entre le glanage et le cinéma ; et deux, que sa forme de glanage consiste en des restes cinématographiques.
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