Radelet-de Grave, Patricia
[UCL]
Dans les « thèses » qu’il fit défendre le 29 juillet 1624 au collège des jésuites de Louvain, Grégoire de Saint Vincent qui, au dire de Leibniz lui-même est l'un de ceux, et ils ne sont que trois, qui lui ont inspiré le calcul différentiel et intégral. Or l'idée, concernant les machines simples, que Grégoire reprend à Héron d'Alexandrie, et qui est l'objet de l'article, est fausse. Pourtant, son intérêt pédagogique et sa possible réhabilitation la rendent digne de notre intérêt.
Bibliographic reference |
Radelet-de Grave, Patricia. Merveilles, machines et mécanique au XVIIe siècle, la relecture d’Héron d’Alexandrie par Grégoire de Saint-Vincent. In: Aurélia Gaillard, Jean-Yves Goffi, Bernard Roukhomovsky et Sophie Roux, L’Automate, Modèle Métaphore Machine Merveille,, Presse universitaire de Bordeau : Bordeaux 2013, p. 379-389 |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/171271 |