Ghesquière, Esther
[UCL]
Grosjean Benedicte
[UCL]
Ce travail de fin d’étude se base sur la notion du care pour développer une réflexion et une architecture qui met en avant deux populations d’individus vulnérables. Il s’agit des femmes victimes de violences conjugales et du vivant non-humain en milieu urbain. Cette recherche va donc tenter de leur offrir un habitat propice à la reconstruction ou à l’épanouissement. L’idée sera donc de penser l’architecture par les vulnérabilités, selon la problématique : en quoi l’architecture peut être bienveillante, et ainsi favoriser l’habitat et la reconstruction de femmes victimes de violences ? Pour cela, il sera question de mettre en valeur les interdépendances qui existent, l’humain faisant partie d’un vivant beaucoup plus large. Cette recherche sur l’intégration du vivant à la conception architecturale, se fera en suivant la question : comment l’intégration du végétal à la conception permet de structurer l’espace ? Le projet se développera donc à plusieurs échelles, en commençant par le contexte lillois, et jusqu’à la typologie d’un cœur d’îlot, lieu de l’ancienne industrie wazemmoise « L’Indépendante ».
Bibliographic reference |
Ghesquière, Esther. Pour une architecture du care : Prendre soin des habitant·e·s par le lieu. Faculté d'architecture, ingénierie architecturale, urbanisme, Université catholique de Louvain, 2021. Prom. : Grosjean Benedicte. |
Permanent URL |
http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:30769 |