Couverture fascicule

Patricia S. Lulof, Architectural Terracottas in the Allard Pierson Museum Amsterdam. Amsterdam, Allard Pierson Museum, 2007

[compte-rendu]

Année 2010 79 pp. 759-761
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Patricia S. LULOF, Architectural Terracottas in the Allard Pierson Museum Amsterdam. Amsterdam, Allard Pierson Museum, 2007. 1 vol. 22,5 x 32 cm, VIII-

117 p., 38 pl., 35 fig. (ALLARD PIERSON SERIES. COLLECTIONS OF THE ALLARD PIERSON MUSEUM, 2). Prix : 198 €. ISBN 978-90-71211-40-9. Après le premier volume de la Collection dédié à la sculpture en pierre du musée (E. M. Moormann, Ancient Stone Sculpture in the Allard Pierson Museum,

Amsterdam, 2000) voici le deuxième qui présente les terres cuites architecturales, les tuiles et dalles de briques conservées dans les collections dudit musée. Dans les premières pages, l’auteur rappelle que les premières recherches sur les objets ont été menées entre 1995-2000 puis reprises pour compléter le manuscrit en 2005. Dans l’intervalle est parue une série d’articles sur quelques-uns des objets accueillis dans ce volume. P. S. Lulof justifie la présentation dans la publication des objets issus du marché d’antiquités, qui avaient été acquis par le musée lui-même ou donnés par des collectionneurs anonymes, ce qui constitue un fait problématique. Nous souscrivons à l’idée qu’il importe néanmoins de présenter ces objets en prenant ses distances avec les pratiques du commerce d’antiquités. L’historique du musée et de ses collections doit tenir compte de ces faits. Le catalogue comporte près de 90 terres cuites architecturales et quelques douzaines de fragments de tuiles et autres objets assimilés. L’ensemble ainsi réuni donne un aperçu presque complet des décorations de toits : archaïques, classiques, hellénistiques, et partiellement pour l’époque romaine. Les terres cuites architecturales sont en majorité tarentines, de l’époque archaïque à l’époque hellénistique. Leur origine géographique s’étend de la Sicile à la Campanie pour les exemples archaïques. De la Grèce et de l’Asie mineure, ainsi que de l’Étrurie proviennent des exemples archaïques, classiques et hellénistiques. Les spécimens d’époque romaine proviennent de l’Italie. La division du catalogue en trois parties se fait de façon chronologique : la période archaïque (VIe-début Ve s.), les périodes classique (mi Ve-fin IVe s.) et hellénistique (IIIe s.), enfin l’époque romaine (IIe s. av.-Ier

après). À l’intérieur de chaque partie, les objets sont répartis entre plaques, antéfixes, moules, gargouilles, etc., et l’auteur s’est appliqué – à l’intérieur de chaque catégorie – à les réunir en groupes suivant un ordre chronologique. En annexe figure un choix de tuiles courantes romaines et dalles de brique avec timbres ou autre traitement en relief de la surface. La première partie consacrée à la période archaïque comporte les n° de cat. 1-37 (p. 1-38). Elle débute avec un rappel de la bibliographie et de l’historique de la recherche suivi d’une explication des types de toitures en Asie mineure et en Grèce. Sont ensuite présentées les plaques à reliefs de geison de Düver en Turquie, de Phaistos ( ?) et d’Asinè en Grèce. Suivent les recherches et publica

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