LEQUINIO : J’avais hier la parole pour une proposition relative à l’objet qui avait occupé la séance, lorsque vous voulûtes passer à l’appel nominal.
Voici mes idées en peu de mots ; elles inté¬ ressent essentiellement le salut du peuple et sa liberté. Lorsque le colosse tyrannique de la royauté subsistait encore, il était nécessaire d’unir toutes les puissances et tous les moyens pour le renverser : alors l’influence des repré¬ sentants dans une société populaire se trouvait nécessaire pour l’encourager et l’éclairer, de même que l’influence de la société sur les repré¬ sentants, afin de les instruire de l’intrigue de
(108) P.-V., XLIX, 12-13. C 322, pl. 1367, p. 43, minute de la main de Paganel, rapporteur selon C* II 21, p. 23. Débats, n° 774, 658-659 ; Moniteur, XXII, 439 ; Bull., 16 brum. ; J. Fr., n° 772 ; M. U., XLV, 268 ; J. Univ., n° 1807 ; F. de la Républ., n° 47 ; Gazette Fr., n° 1039 ; J. Mont., n° 24.
(109) P.-V., XLIX, 13. Paganel, rapporteur selon C* II 21, p. 23. Bull., 16 brum. ; J. Fr., n° 773 ; M. U., XLV, 280 ; F. de la Républ., n° 48.
(110) P.-V., XLIX, 14.