M. Malès. Je demande la parole sur cette lecture, au nom des comités des rapports et recherches. Il ne faut pas qu’elle soit faite, car cela nous ferait perdre le fil d’autres faits que vos comités ne veulent point encore communiquer, de quelques jours, parce qu’ils ont besoin d’en suivre la trace.
M. Rewbell. Ces faits ont été connus de la société des amis de la Constitution de Landrecies ; ils peuvent bien l’être de nous.