Paris Editions Genin Librairie de Médias 1956 242 p. 13 fig. tableaux 1.200 Les problèmes que pose investissement sont de tous les temps Le mot seul on le sait est un néologisme Il doit sa vogue deux phénomènes approfondissement de l;i théorie de la firme la généralisation une politique économique globale liée édification une théorie macro-écono mique ouvrage de AI Hosmaliu en lient au premier de ces deux aspects Encore ne prétend-il point le traiter clé manière exhaustive Plus limité son propos eist aussi plus fécond il consiste regrouper et critiquer en les rapprochant les unes les autres des vues éparses plus ou moins divergentes et presque toujours partielles Ce regroupement opère autour de trois idées directrices celle de profit envisagé en tant que pôle com mun aux deux autres savoir une part analyse théorique du calcul économique de la firme autre part les conduites effectives des chefs de firme Du moins cette articulation nous a-t-elle paru sous-jacente un plan quelque peu différent où sont envisagés successivement les concepts de progrès technique investissement et de rentabilité les aspects théoriques de la rentabilité ses aspects pratiques Si nous pla ons quant nous la notion et le fait du profit au centre de tous ces développements est ils sont effectivement au centre de la théorie et de la vie de la firme est aussi que le profit est pareil lement difficile cerner en tant que notion et en tant que fait Le profit de fait procède de interprétation comptable une réalité incertaine Quant la théorie du profit elle échappe point arbitraire dès instant où elle cherche articuler est ainsi que Hosmalin distingue très clas siquement le profit brut le profit net et le profit pur alors que ce der nier seul correspond un profit véritable et que les deux autres désignent improprement notre avis des rémunérations un autre type plus ou moins assimilable des coûts comme par exemple le profit normal hpr école de Cambridge Dans un tableau synoptique ingénieux 73 auteur cherche rapproch en les confrontant composantes théoriques et composantes comptables du profit Pour les raisons qui viennent être indi quées ces correspondances sont sujettes caution non seulement écono mistes et comptables ne parleur piis la même langue ils ne pensent pas la même chose Leurs deux langue! sont intraduisibles une dans autre elles emploient les mêmes mots en des sens différents Ce premier divorce est pas le seul que le livre met en lumière Il en est un second qui découle clairement de la deuxième et de la troisième