Couverture fascicule

Antiquités gallo-romaines d'Angers

[compte-rendu]

Année 1914 78 pp. 138-139
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 138

CHRONIQUE

PAR

Louis SERBAT.

Gaule romaine.

Antiquités gallo-romaines d'Angers. — Une «deuxième note sur le Rempart gallo-romain d'Angers » a permis à M. le chanoine Pinier de consigner d'intéressantes et nom¬ breuses observations sur Angers aux premiers siècles, cité dont les vestiges, retrouvés sous le sol, sont des plus nom¬ breux. Malheureusement, trop souvent, les travaux qui en occasionnent la remise au jour en causent aussi la destruc¬ tion définitive, avant que l'on ait pu faire toutes les consta¬ tations désirables. Une canalisation, creusée en septembre dernier, a révélé un mur antique de haute époque, puis une nouvelle fraction de l'enceinte ayant dû appartenir aux environs de la «porte de Chanzé ». Une petite fouille per¬ mettrait de vérifier l'hypothèse de M. l'abbé Pinier. D'autres trouvailles, faites par l'érudit chanoine, l'ont engagé à modifier ses premières opinions sur l'âge de l'enceinte de la ville. De l'examen de diverses sépultures qu'il a étudiées dans le cimetière antique de Saint-Martin, situé, comme de juste, en dehors de l'enceinte, M. Pinier est amené à faire remonter celle-ci jusqu'à la fin du IIIe siècle ; elle serait donc de cent ans plus vieille qu'on ne l'avait dit

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw