Couverture fascicule

Napoléon, Stendhal et les romantiques, l'année, la guerre, la gloire, Actes du colloque organisé par le Musée de l'Armée, textes réunis par M. Arrous

[compte-rendu]

Fait partie d'un numéro thématique : Provinces-Paris
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, Paris, Eurédit, 459 p.

Le colloque organisé par le Musée de l'Armée rappelle dans sa démarche générale celui de Clermont-Ferrand de 1985 sur La bataille, l'armée et la gloire. Les communications présentées s'intéressent plus particulièrement au travail de création ou d'interprétation de la légende napoléonienne par Stendhal et par la génération des romantiques. En un temps où la bourgeoisie triomphante adopte le mot d'ordre « Enrichissez-vous », les romantiques fascinés par l'armée de Napoléon et par la gloire des batailles en entreprennent une véritable mythification. Certains, rejetant le culte de Napoléon « multiplicateur de l'enthousiasme », conservent une attitude critique.

Une première partie regroupe des communications portant sur le thème : «Figures de l'officier et du soldat, vie en campagne, vie en garnison». T. Oswald présente un Balzac qui, tout au long de son œuvre, étudie comme un anthropologue les héros de la légende. V. Laisney décrit un Charles Nodier empli tout à la fois de haine et d'amour à l'égard de Napoléon qui frustre le poète de sa gloire. P.-M. Nadeau, faisant revivre la figure du demi-solde chez Coignet et Stendhal, s'interroge sur la gloire, « deuil

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