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Michel Colin Langue, film, discours prolégomènes à une sémiologie generative du film

[compte-rendu]

Porteur de licence :
Année 1986 68 pp. 120-121
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Klincksieck-Esthétique, 1985.

Dans cet ouvrage, version remaniée de sa thèse de doctorat d'Etat, Michel Colin fait montre d'un projet ambitieux puisqu'il s'agit de rendre compte du discours filmique à l'aide des concepts de la grammaire generative. Or on sait que cette dernière ne décrit pas des énoncés réalisés, mais la compétence qu'a un locuteur à produire et interpréter des énoncés. Tout d'abord, M. Colin cherche à déterminer en quoi peut consister une telle compétence. Se basant sur l'analyse d'Herbert \ il distingue une double forme d'idéologie : de forme A ou empirique (relation signifiant/signifié) ; de forme B ou spéculative (relation entre signifiants). Sur le plan filmique, 'la première répond à l'identification à la caméra, la seconde à l'identification aux personnages. Or cette seconde doit être complétée de la façon suivante : ce à quoi tend à s'identifier le spectateur est autre chose, c'est-à-dire un discours à travers les personnages et la topologie qui leur donne sens : cette dernière s'avère donc fondamentale.

Interprétant la situation relative des personnages, la façon dont ils sont filmés (face, profil,

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