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A propos de Maître Eckhart

[autre]

Année 1998 96-2 pp. 281-284
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Courrier des lecteurs

A propos de Maître Eckhart*

Dans son numéro de novembre 1996, la Revue philosophique de Louvain a publié, sous signature de M. Hervé Pasqua, un compte rendu critique de notre ouvrage récent intitulé Maître Eckhart ou l'empreinte du désert (Editions Albin Michel, Paris 1995). Nous n'avons eu connaissance de ce texte que tardivement, par les soins de notre éditeur. Le contenu de cette analyse nous est apparu suffisamment contestable pour que nous demandions et obtenions des responsables de cette publication la possibilité de procéder à une mise au point. Nous leur en exprimons notre reconnaissance.

On voudra bien croire que nous ne sommes pas animés en cela par un esprit de revanche ou de polémique; nous ne connaissons pas M. Hervé Pasqua — mais l'estime que nous portons à cette revue ainsi que l'amitié que est nôtre à l'égard de plusieurs membres de son comité de rédaction nous font devoir de nous livrer à cette mise au point. Au vrai, la raison la plus essentielle de cette intervention n'est pas de défendre notre ouvrage — à l'égard duquel M. Pasqua exprime un jugement rien moins que négatif — mais de redresser certains propos qui, par delà nos personnes, portent sur Eckhart lui-même, en entretenant des jugements injustifiés dont nous espérions justement que nos analyses pourraient le libérer. Il s'agit là d'un enjeu d'importance, à une époque où l'intérêt pour sa pensée fait un retour en force et exige donc une parfaite précision; ce qui doit nous rendre vigilants face à certaine pérennisation de critiques nos fondées le concernant.

M. Pasqua, par deux fois, évoque ce qui serait de notre part une «lecture hégélienne» ou «hégélianisante» — ce qui sonne de sa part comme l'indication d'un handicap. Face à quoi nous oserons suggérer

En réponse à M. Hervé Pasqua, auteur d'un compte rendu paru dans le numéro de novembre 1996 de notre revue (pp. 692-697) et portant sur l'ouvrage suivant: G. Jarczyk et P.-J. Labarrière, Maître Eckhart ou l'empreinte du désert, Paris, Albin Michel, 1995

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