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Couverture fascicule

Anne Cauquelin

[article]

Fait partie d'un numéro thématique : Daniel Arasse. La pensée jubilatoire des oeuvres d'art

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Page 35

Alain Chareyre-Méjan

Le trémolo du sens

Résumé

“ Le secret n’a rien à voir avec les ténèbres. Le secret appartient à la lumière” Manuel Rivas1

Si le secret est la lumière, s’il est vide – ou évident –, il faut changer la façon de l’aborder et de le partager. C’est ce que Daniel Arasse paraît se dire à lui-même dans tout ce qu’il écrit, et enseigne, de sa rencontre avec la peinture. Peut-être, d’ailleurs, est-ce ce qu’il se dit de sa rencontre avec la vie même. Comme quelqu’un qui aurait flairé l’aporie de la signifiance en général, étant donné son point aveugle par exemple, mais aussi le caractère infini de toute interprétation qui ne coïnciderait pas avec son objet. Entre autres… Tant et si bien que la maîtrise de ses analyses nous saisit encore davantage par la façon dont elle fait mine de compliquer les oeuvres que par l’évidence des preuves qu’elle apporte de notoriété publique. Daniel Arasse semble le maître de l’impossibilité de maîtriser la représentation elle-même.

L’étoile mystérieuse

“ Mon auberge était à la grande Ourse” Arthur Rimbaud

Voici ce que l’on découvre lorsque l’on relit – en même temps – et que l’on confond alors un peu – l’oeuvre de Daniel Arasse et celle de Maurice Leblanc. Arrêtons-nous par exemple sur l’une des premières aventure d’Arsène Lupin intitulée La comtesse de Cagliostro. Au centre du livre il y a ALCOR. C’est le nom d’une petite étoile (un détail) dans la queue de la grande Ourse ; au-dessus de Mizar de la grande Ourse. La séparation à l’oeil nu de ces deux étoiles est considérée par les arabes comme un test d’excellente acuité visuelle. Alcor signifie d’ailleurs “ épreuve” en arabe, exercice. Elle signale l’épreuve de voir ce que l’on a justement sous les yeux. Dans la comtesse de Cagliostro Arsène Lupin est amené à 35

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