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Avant-propos. Les sanctuaires autochtones et le roi dans l’Orient hellénistique : entre autonomie et soumission

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Année 2014 19-1 pp. 11-15
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Topoi 19 (2014) p. 11-15 Avant-propos Les sanctuaires autochtones et le roi dans l’Orient hellénistique : entre autonomie et soumission

La table ronde intitulée «Les sanctuaires autochtones et le roi dans l’Orient hellénistique : entre autonomie et soumission » s’est tenue le 2 décembre 2011 à la Maison René-Ginouvès de Nanterre, grâce au soutien de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, du thème transversal III de la Maison René-Ginouvès, et de l’équipe de recherches HAROC, affiliée au laboratoire ArScAn (UMR 7041). Elle trouve son origine dans les interrogations assyriologiques de ses organisateurs concernant le statut des villes de culture suméro-akkadienne durant la période de domination macédonienne, interrogations qu’il nous a paru légitime d’insérer dans un contexte plus large, en confrontant nos sources à celles des autres régions de l’Orient hellénistique. Cet élargissement géographique se justifie à notre sens par le fait que les conquérants ont été partout confrontés à la présence de cultures traditionnelles suffisamment vivaces pour influer sur les conditions de la domination macédonienne. En témoignent notamment, pour ne citer que quelques exemples célèbres, la décision d’Alexandre de reconstruire la ziggurat de l’Etemenanki à Babylone, le maintien sur le trône du roi Philoclès de Sidon, le sacre memphite de Ptolémée II, la mort d’Antiochos III en Élymaïde ou encore la révolte des Maccabées. Cette situation n’est du reste pas une spécificité hellénistique, et il nous a paru utile d’inviter les participants à élargir le cadre chronologique de leurs études, en y intégrant ponctuellement les autres grands empires de la seconde moitié du Ier millénaire av. J. ‑C., c’est-à-dire les empires achéménide et parthe. Les intervenants ont également été invités, lorsque cela était possible, à intégrer la période des monarchies autochtones précédant la conquête perse, afin d’insérer nos réflexions dans un temps long du Ier millénaire av. J. ‑C., préalable indispensable à une analyse fine des phénomènes historiques.

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