Couverture fascicule

Solitudes, écriture et représentation, sous la direction d'André Siganos, 1995

[compte-rendu]

Année 1996 35 pp. 256-257
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 256

Solitudes, écriture et représentation, sous la direction d'André Siganos, Grenoble, ELLUG, 1995, 242 p.

Les auteurs sont les comparatistes réunis à Grenoble pour leur XXVe congrès national. Dès la couverture et l'introduction, le ton est donné : il ne s'agit pas simplement d'analyser en comparatistes un terme souvent lié à l'histoire des mentalités ou à la sociologie. Tout commence pourtant dans la première partie avec une typologie des solitudes (de la tragédie grecque au Roi Pêcheur), se poursuit avec une comparaison

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw