Couverture fascicule

Léon Rosenthal. — La Peinture romantique. — Paris, Henry May, 1900

[compte-rendu]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 86

Léon Rosenthal. — La Peinture romantique. — Paris, Henry May, 1900, in-4° de X-334 pages.

Il nous manquait un livre d’ensemble sur la peinture romantique ; il manquait surtout un livre d’étude désintéressée, exempt d’esprit dé parti ou de souci d’école. Longtemps on n’a pu parler des artistes roman¬ tiques avec sang-froid ; les temps sont enfin venus de les étudier non certes avec indifférence, mais avec équité. Toutefois, la tâche de l’histo¬ rien, pour sympathique et informé qu’il soit, ne laisse point d’être très malaisée. Définir la peinture romantique n’est déjà pas commode ; l’isoler des arts ambiants, la couper notamment de la sculpture roman¬ tique, peut paraître hasardeux ; limiter exactement les dates d’une telle

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw