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Vermondo Brugnatelli, Questioni di morfologia e sintassi dei numerali cardinali semitici. Firenze, La Nuova Italia Editrice, 1982

[compte-rendu]

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I. LANGUE ET LITTÉRATURE ARABES.

Vermondo Brugnatelli, Questioni di morfologia e sintassi dei numerali cardinali semitici. Firenze, La Nuova Italia Editrice, 1982. 24 cm, xm + 167 p. Pubblicazioni della Facoltà di Lettere e Filosofia delTUniversità di Milano : XCI1I, Sezione a cura dell’Istituto di Glottologia : 7.

Le livre de Vermondo Brugnatelli comprend un appendice qui «énumère » les unités numérales de l’accadien, de l’ougaritique, du phénicien et du punique, de l’hébreu, de l’ara-méen, de l’arabe, du sud-arabique, de l’éthiopien, de l’égyptien ancien, du berbère, du béja ; une bibliographie qui apparaît complète à la date de la composition ; un index, classé par langues, des unités numérales citées ; un index des auteurs nommés ; un index des sujets.

Il est donc commode de revenir dans ce livre sur un point ou sur un fait particulier. Ce livre est non seulement d’une consultation commode mais il est aussi d’une consultation agréable : il a été composé avec grand soin et par son auteur et par son éditeur.

Le corps même du livre est organisé en trois parties :

1. L’examen des unités numérales dans les langues considérées : du sémitique nord-oriental — l’accadien —, du sémitique nord-occidental — l’éblaïte, l’ougaritique, le phénicien-punique, l’hébreu, l’araméen, le syriaque et le mandaïque —, du sémitique méridional — l’arabe, les dialectes arabes modernes, le sud-arabique, l’éthiopien —, du chamitique avec l’égyptien ancien, le libyco-berbère, les langues couchitiques. L’auteur a étudié particulièrement dans chacune de ces langues le «croisement » des genres des noms de nombre (de trois à dix) et du nom nombré.

2. L’état de la question : sont exposées les explications qui ont été avancées pour rendre compte de ce «croisement ».

Cette deuxième partie comprend elle-même deux parties ordonnées et selon un ordre chro¬ nologique et aussi selon le degré, si l’on peut dire, de réussite des nombreux linguistes dont les positions sont examinées :

2.1. Les théories :

— de 1’«indépendance grammaticale » («Il principio è semplice : il numérale tenderebbe ad esaltare la propria indipendenza come categoria grammaticale rispetto a nome ed agget-tivo, e la evidenzierebbe con un accordo ehe è l’esatto opposto di quello dell’aggettivo ») ;

— de Γ«antériorité des formes à dentale » («La forma originaria dei numerali sarebbe stata quella ‘ femminile ’, in quanto i numerali 3-10 sarebbero stati nomi astratti o collettivi [ . . . ] Solo successivamente [ . . . ] si sarebbe costituita una forma priva di terminazioni ») ;

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