Couverture fascicule

Zsolt Adorjáni, Auge und Sehen in Pindars Dichtung, 2011

[compte-rendu]

Année 2013 82 pp. 285-286
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Zsolt ADORJÁNI, Auge und Sehen in Pindars Dichtung. Hildesheim, Olms, 2011. 1 vol. 15 x 21 cm, 248 p. (SPUDASMATA, 139). Prix : 39,80 €. ISBN 978-3-487-14632-4. La préface qui ouvre le livre précise qu’il s’agit de la version allemande légèrement remaniée d’une thèse présentée en 2011 en hongrois à l’Université catholique Péter-Pázmány de Piliscsaba en Hongrie. L’introduction (p. 8-16) circonscrit le sujet – la métaphore de l’oeil et de la vision dans les épinicies de Pindare – et précise la méthode. L’auteur joint ainsi à l’analyse thématique deux analyses plus traditionnelles, à savoir l’analyse textuelle vers par vers et l’analyse purement philologique et grammaticale ; cette démarche lui permet notamment d’apporter de nouveaux éléments aux débats relatifs à des passages textuels très discutés. Par-là, Adorjáni se positionne également dans la discussion portant sur la question de l’unité de l’oeuvre pindarique et donc sur les liens qu’une même thématique peut tisser entre plusieurs odes. Aussi l’auteur traite-t-il essentiellement des épinicies, entièrement conservées, et seulement sporadiquement des fragments. En ce qui concerne la littérature secondaire, l’auteur ambitionne de recourir à l’ensemble non seulement des commentaires sur Pindare mais également des recherches qui traitent de son sujet, l’oeil et le regard, tout comme du sujet étroitement apparenté qu’est celui de la lumière et de l’obscurité, et cela dans toute la littérature grecque. Une rapide revue critique de l’ensemble de ces recherches montre qu’un tel travail consacré à Pindare fait encore défaut, une lacune que l’auteur vise à combler. Suivent cinq chapitres thématiques. Le premier, intitulé «Le regard de la Charis » (p. 17-75), part de la quatorzième ode olympique qui, bien qu’elle chante la victoire d’Asopichos d’Orchomène, célèbre surtout les Charites. À l’analyse détaillée de cette ode succède celle d’un passage de la septième ode olympique, puis une série de réflexions sur les Charites, fondées sur ces deux analyses rigoureuses mais tenant compte également de toutes les autres occurrences

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