. Paris, éd. du Cerf, 1979. (13 x 21), 277 p., 54 F. c Le prestige du disciple a voilé le nom du maître... » Ainsi commence le beau livre que Mme Lucienne Portier vient de consacrer à ce prêtre à la fois très connu et méconnu. Il est certain que pour beaucoup de ceux qui ouvriront cet ouvrage, l'abbé Huvelin est avant tout (uniquement ?) l'homme qui
3. Voir en particulier la très remarquable lettre du 29 janvier 1845, où il présente l'argument d'un article sur c l'utilité » spirituelle de l'Œuvre, qui parut dans les Annales de mai suivant. On retiendra aussi son souci maintes fois exprimé d'élever le niveau scientifique de cette publication, en imprimant des travaux du type de celui qu'Ozanam rédigea lui-même pour reconstituer le passé des missions chrétiennes dans l'archipel japonais (lettre du 18 mars 1846).