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Allocution de M. Maignon, président pour 1938

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BULLETIN DE I.’aCADÉMIE

Allocution de M. MAIGNON, président pour 1938

Messieurs,

Arrivé au terme de mon année de présidence, j’éprouve à la fois un sentiment de tristesse à voir s’achever une période de ma vie qui m’a procuré des joies et de reconnaissance envers vous, qui m’avez fait l’honneur de m’appeler à participer d’une façon active à vos travaux.

Cette année ne s’est malheureusement pas écoulée sans que la mort n’ait fait des vides parmi nous.

Nous avons eu la douleur de perdre un membre titulaire, notre regretté collègue Henri Carré, et deux membres corres¬ pondants nationaux : Paul Dieudonné, d’Einville (M.-et-M.), et le vétérinaire colonel E. Alix. J’adresse à leur mémoire un sou¬ venir ému.

Nous avons élu un membre correspondant national, le pro¬ fesseur Hervieux, de l’Ecole Vétérinaire de Toulouse ; deux membres correspondants étrangers : le professeur Berger, de la Faculté Vétérinaire de l’Université d’Utrecht, et le professeur-docteur Flückiger, directeur de l’Office Vétérinaire,1 fédéral de Berne.

Je suis heureux de leur exprimer, au nom de l’Académie Vétérinaire de France, des félicitations et souhaits de bienvenue.

J’ai, pour terminer, un devoir agréable à remplir, celui de saluer votre nouveau président, mon ami le docteur Bridré, qui joint à la courtoisie et l’éclectisme la compétence du savant.

Nul doute que, sous sa bienfaisante impulsion, l’Académie ne continue sa marche ascendante et que, lui-même, n’éprouve dans l’accomplissement de ses fonctions, les mêmes satisfactions que vous m’avez si largement dispensées.

Je le prie de prendre la place, qui est maintenant la sienne, et lui adresse mes vœux les plus vifs.