Couverture fascicule

Colloquio Internazionale. Archeologia e astronomia. Venezia 3-6 Maggio 1989, 1991. (Supplementi 9 alla Rivista di Archeologia)

[compte-rendu]

Année 1992 94-1-2 pp. 287-288
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 287

Colloquio Internazionale. Archeologia e astronomia. Venezia 3-6 Maggio 1989. — Roma : Giorgio Bretschneider Ed., 1991. — 30 χ 23, 217 p., 63 pi. d'illust. h. t. (Supplementi 9 alla Rivista di Archeologia)

Le champ de rarchéoastronomie, qui s'esquisse au fil des Communications, est extrêmement vaste, puisqu'il va des pays riverains de la Méditerranée (Italie, Balkans) jusqu'à l'Ile de Pâques, avec des étapes en Angleterre (Stonehenge, inévitable), aux Canaries, au Mexique, dans l'Amérique centrale et dans l'Afrique saharienne ; le domaine couvert historiquement est tout aussi large, depuis les sites de l'âge de bronze (Vénétie), ceux du néolithique (Sardaigne), jusqu'aux mosaïques de Saint-Marc à Venise et au retable gothique de Sainte Marguerite à Varsovie, en passant par les civilisations précolombiennes. Bref, l'archébastronomie s'applique à toutes les civilisations, de l'instant où les hommes commencent à construire et où, pour organiser leur

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw