Couverture fascicule

Départements tertiaires : Carrières Juridiques, Information et Communication, Techniques de Commercialisation

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Année 1994 13-3 pp. 111-112
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Les Cahiers de l’APLIUT Volume XIII, 3 (n° 52), mars 1994 ISSN : 0248 9430

ATELIERS DES DÉPARTEMENTS TERTIAIRES

4 juin 1993 Atelier de Carrières Juridiques, Information et Communication, Techniques de Commercialisation Participants : Monique ADAMS, Andy ARLEO, Esther ALONSO, Marie-Claude BASSET, Anne-Geneviève BOSSARD, Danuta BRENDNT, Elisabeth BUVELOT, Dominique CLAISSE, Willy CLIJSTERS, Jean-Jacques CORRE, Alison COULAVIN, Anne CUMET, Michel ESQUERRÉ, Jean-Bernard ESQUERRÉ, Joël EZANNO, Hélène GARNIER, Ruth HARRIS, Christine HENROT, Michel HISCOCK, Eva KELEMEN, Michèle LEFEVRE, Jean MONSTRON, Madeleine O’BRIEN, Elisabeth PAQUIER, Christian PITHON, Antoine PROVO, I. RAVIER, Véronique ROUANET, Anne SEIBERT, Gisèle SIGAL, Dirk VAASSEN, Martine VERJANS, Marion WEYANT. Présidente de séance : C. HENROT

Ordre du jour : Le point sur les échanges internationaux Le compte rendu de la réunion de spécialité TC du 29 janvier 1993 à l’IUT de Paris sur les échanges internationaux est disponible auprès de Véronique ROUANET (IUT de Nice, 41 Bd Napoléon III, 06041 Nice) ; il traite de la poursuite d’études à l’étranger et des diplômes type Cambridge et Chambres de Commerce que certains collègues proposent aux étudiants. Concernant les poursuites d’études en un an en université étrangère, V. ROUANET souligne la nécessité d’harmoniser les exigences et les diplômes universitaires délivrés à la suite de ces séjours. Il faut homogénéiser les contenus et les dénominations pour une meilleure " lisibilité" du diplôme, sous peine de ne pas être crédibles auprès des employeurs ou de rendre plus difficile l’obtention d’équivalence. Par ailleurs, le financement de cette année d’étude à l’étranger reste un gros problème et l’obtention d’une bourse serait facilitée si l’année passée à l’étranger était effectivement intégrée au cursus, comme troisième année sanctionnée par un diplôme au label commun à tous les IUT, assimilable à une licence, puisque la préparation de simples DU ne donne pas droit à une bourse. Il faudrait en quelque sorte transformer le cursus court en cursus long incluant l’année passée à l’étranger, et ce d’autant plus que les étudiants partant dans le cadre d’ERASMUS ne peuvent pas prétendre au DU. De même, certaines universités ne délivrent pas de DU pour sanctionner ce séjour, et il faut que les étudiants s’inscrivent dans une autre filière simplement pour justifier de leur qualité. Autant de problèmes qui trouveraient là leur solution. Reste à s’accorder sur des exigences communes quant au contenu du diplôme. Diverses opinions s’expriment, mais tous s’accordent sur le principe d’un cadre large, et sur le fait que l’on doit en débattre avec les directeurs d’IUT. Il faut mener une réflexion et une action communes. Les participants irlandais font état de la nécessité d’être flexibles pour pouvoir s’adapter aux cursus des universités correspondantes et aussi de la nécessité de préparer l’étudiant à l’expérience qu’il va mener, cette double exigence permettant de réduire les dangers de " ghettoïsation".

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