Plan

Chargement...
Couverture fascicule

La «tremblante» du mouton dans le département de l’Indre

[article]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 321

La «Tremblante » du Mouton dans le département de l'Indre

par F. Lucam, R. Béchade, P. Saubat

Jusqu’à cos dernières années, la «Tremblante du Mouton » paraît n’avoir jamais eu, dans notre pays, qu’une aire géogra¬ phique assez étroite, ne comprenant que quelques départements, situés au Sud du Massif Central : Aveyron, Aude, Tarn, Cantal, Lozère, Gard, Hérault, Bouches-du-Rhône. R y a, certes, les obser¬ vations anciennes de Berger (J), en Seine-et-Oise, et de Tras-bot (2), en Sologne; mais, outre que leur imprécision ne permette pas d’affirmer qu’il s’agissait réellement de Tremblante, jamais, depuis, un seul cas de la maladie n’a été signalé dans ces dépar¬ tements. Aussi l’un de nous écrivait-il en 1937 (3) : «Si la Trem¬ blante a réellement évolué géographiquement, au cours du siècle précédent, il ne paraît pas que cette évolution se poursuive encore actuellement, car les nombreux renseignements que nous avons pu recueillir ne nous ont jamais permis de l’identifier dans des régions autres que les départements que nous avons indiqués ».

Or, une nouvelle enquête, menée depuis le début de 1930, nous oblige à réviser cette opinion et à constater que la Tremblante s’étend, et que son extension revêt deux aspects. D’une part, elle prend une allure de plus en plus grave dans certains des dépar¬ tements indiqués plus haut, d’autre part, elle existe, maintenant, dans des régions nouvelles, fort éloignées des premières, où jamais encore elle n’avait été reconnue.

La première constatation est basée sur les renseignements que nous avons pu recueillir dans l’Aveyron, la Lozère, l’Hérault, le Gard, aussi bien auprès des éleveurs que de nos confrères (4). La seconde l’est sur la découverte d’un nouveau foyer dans l’Indre, qui fait l’objet de cette note.

(1) Berger. — Rec Méd. Vét., 1829, p, 615.

(2) Trasbot. — Cours de Pathologie spéciale, 1890.

(3) I. Bertrand, H. CARRé et P. Lucam. — Rec. Méd. Vét., 1937, t. 113, n° 9, p. 547.

(4) Nous sommes heureux d’adresser nos plus vifs remerciements à nos Confrères MM. les Directeurs : Lafenêtre, Bézert, Dignat et Tailland qui ont bien voulu nous apporter leur précieux concours dans la poursuite de notre enquête et de nos recherches.

Bul. Acad. Vét. — Tome XXIII, Juin 1950. — Vigot Frères, Editeurs.

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw