Couverture fascicule

Michel Kail et Geneviève Vermès (Coordonné par), La psychologie des peuples et ses dérives, Paris, Centre de documentation pédagogique, coll. « Documents actes et rapports pour l'éducation », 1999

[compte-rendu]

Année 2000 135 pp. 177-178
Fait partie d'un numéro thématique : « Pensée unique » et pensées critiques
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Pline le Jeune observait (lettre X.33.1-2), à propos d'un incendie à Nicomédie, que, au contraire des Romains, les Orientaux restaient passifs devant le spectacle d'un désastre. La psychologie des peuples a donc ses lettres de noblesse dans la littérature, son fondement dans le sens commun qui veut que les peuples (les autres) soient différents de nous, ces différences servant essentiellement à l'explication que nous donnons, en fins connaisseurs, des réactions de l'Autre.

Qu'en est-il, à présent, de la psychologie des peuples, cette bonne vieille Volker Psychologie que nous avions abandonnée dans les pages de nos manuels ? Telle est la question, fort pertinente dans le contexte politico-social actuel, posée par les contributeurs de cet ouvrage, bien

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