Couverture fascicule

Emanuele Narducci, Cicerone e i suoi interpreti. Studi sull’Opera e la Fortuna, 2004

[compte-rendu]

Année 2008 77 pp. 428-429
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Emanuele NARDUCCI, Cicerone e i suoi interpreti. Studi sull’Opera e la Fortuna.

Pise, ETS, 2004. 1 vol. 17,5 x 24 cm, 442 p. (TESTI E STUDI DI CULTURA CLASSICA,

29). Prix : 19 €. ISBN 88-467-0974-8. Le présent ouvrage constitue, après Modelli etici e società. Un’idea di Cicerone

(1989) et Cicerone e l’eloquenza romana (1997) le troisième volume d’études cicéroniennes réunies publié par M. Narducci. La première partie s’intitule Studi su Cicerone e la tarda repubblica romana et contient les contributions suivantes :

Cicerone e l’orientamente intellettuale dell’opinione pubblica (sur la manière dont Cicéron entendait guider ses contemporains vers la concordia ordinum et, plus tard, vers un plus large consensus omnium bonorum) ; un essai sur la décoration grecque des villas de Cicéron vue comme création d’un monde de valeurs et de souvenirs destiné à fournir un cadre pour sa propre personnalité intellectuelle (La memoria della grecità nell’immaginario delle ville ciceroniane) ; Cronaca criminale e letteratura nella pro Cluentio (sur les stratégies oratoires de Cicéron, e. a. l’emploi d’éléments littéraires (souvent tirés de tragédies) et sur ses vues concernant la manipulation de la «vérité » ) ; L’amico e l’adulatore. Cicerone e i pericoli della simulatio (sur les expériences personnelles de Cicéron en la matière et l’élaboration de ses opinions sur la problématique dans ses écrits philosophiques) ; Percezioni dell’esilio in Cicerone

(sur la réinterprétation philosophique, avec des influences péripatéticiennes et académiques, de son exil dans le De domo) ; Le Tusculane : un percorso di letteratura (sur l’évolution des préférences philosophiques de Cicéron vers un stoïcisme radical) ; Il «personaggio » di Attico : da Cornelio Nepote a Montaigne, un essai dans lequel M. Narducci tente de démontrer que, dans l’optique d’Atticus, les virtutes ont leur «centre géométrique » dans la existimatio, laquelle se mérite par l’exécution fidèle des mandata d’amis et des officia tels que les conçoit la classe dirigeante dans la Rome de son temps, et que pour lui l’humanitas se définit essentiellement comme une «ideologia dell’adattamento » . – La deuxième partie contient des notes de lecture concernant Pro Caelio 18, De domo 105, De oratore 213 s. et Pro Marcello 25 s. La troisième partie s’intitule Aspetti e momenti della fortuna di Cicerone. Un premier essai est consacré aux emprunts faits par Leon Battista Alberti à l’oeuvre de Cicéron au sujet des thèmes de l’amitié, de la flatterie et de la simulation et à la manière dont il les a adaptés à ses propres expériences et conditions de vie. Le deuxième traite du

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