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Specialisation and Networking in Medium-sized Cities

MPG-Autoren
/persons/resource/persons41153

Crouch,  Colin
Auswärtiges Wissenschaftliches Mitglied, MPI for the Study of Societies, Max Planck Society;
University of Warwick Business School, UK;

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Zitation

Crouch, C. (2006). Specialisation and Networking in Medium-sized Cities. In OECD (Ed.), Competitive Cities in the Global Economy (pp. 317-328). Paris: OECD Publications. doi:10.1787/9789264027091-10-en.


Zitierlink: https://hdl.handle.net/11858/00-001M-0000-0012-4D1D-3
Zusammenfassung
Medium-sized cities in search of new sources of dynamism face a difficult agenda. The dynamic high-tech developments with which every place would like to be associated are difficult to grow. By definition, innovative, entrepreneurial ventures are risky and might fail. They are also unlikely to create, by themselves, high levels of employment. Quicker, less exacting routes to providing large numbers of jobs are more likely to be found at the other end of the scale of knowledge intensity. But these will not bring much autonomous development, and some, though by no means all, are vulnerable to global competition. Crucial to local dynamism are local collective competition goods, which, as explained below, can provide the focus of a citylevel policy agenda. However, the fact that many advanced sectors of the new economy tend to favour capital and other large cities raises doubts over the continuing capacity of individual medium-sized ones to "go it alone".
Les villes moyennes à la recherche de nouvelles sources de dynamisme font face à une tâche ardue. Il est difficile de susciter le genre d’évolution dynamique de la haute technologie à laquelle toute ville souhaiterait être associée. Par définition, les entreprises innovantes sont risquées et peuvent échouer. Par ailleurs, elles ne sont guère susceptibles de créer d’elles-mêmes un nombre important d’emplois. Il est plus probable que l’on trouvera, à l’autre bout de l’échelle d’intensité des connaissances, des moyens plus rapides et moins exigeants de créer beaucoup d’emplois. Or ces moyens n’entraîneront pas beaucoup de développement autonome. En outre, certains de ces moyens, certes pas tous, sont exposés à la concurrence mondiale. Les biens concurrentiels collectifs sont essentiels au dynamisme local. Ils peuvent, comme nous l’expliquons plus loin, constituer le moteur d’un programme de mesures au niveau de la ville. Néanmoins, de nombreux secteurs en pointe de la nouvelle économie sont gourmands en capitaux et il existe d’autres villes qui sont, quant à elles, importantes, ce qui fait douter de la capacité de villes moyennes à « faire leur chemin toutes seules ».