A brief overview of the capacities of public forest administrations in climate change work in the moist forests countries of Sub-Saharan Africa
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Date
Authors
Dlamini, Cliff
Mahamane, Larwanou
Charlemagne, Nguembou
Chirwa, Paxie W.
Journal Title
Journal ISSN
Volume Title
Publisher
Commonwealth Forestry Association
Abstract
The work of Public Forest Administrations (PFAs) has evolved from forest management, to sustainable forest management, to management
of forests and woodlands for ecosystem goods and services, and ultimately to climate change adaptation and mitigation. The objective of this
review is to give an overview of the capacities of PFAs in forest-related climate work. Findings have shown that though they still exist under
national governments like in the colonial era, in the majority of moist forest countries PFAs have been transformed from implementing mere
forest protection and conservation into modern people-centred and participatory approaches. Several factors have contributed to this transformation,
chief among them being that nowadays the forestry sector embraces sustainable development which emphasizes a shift towards sustainable
resource use rather than ‘old age’ conservation. Most important though, PFAs are not only mandated to carry out conventional forestry
but also forest-related climate change work in response to new and emerging environmental challenges. However, PFAs lack physical, human
and financial capacities to implement their work due to being under-funded because they are not a top priority in national budgets regardless
of the paradigm shift. Furthermore, there is lack of stakeholder participation, unclear access and equitable benefit sharing, inadequate capacity
in estimation and reporting on National Green House Gases (GHG) inventories, in application of the Inter-governmental Panel on Climate
Change (IPCC) Good Practice Guidance (GPG).
Le travail des Administrations des forêts publiques (PFAs) a évolué de gestion forestière en gestion forestière durable, puis en gestion des forêts et des terres forestières pour les services et les produits de l’écosystème et enfin en atténuation du changement climatique et à une adaptation à ce dernier. L’objectif de cette étude et d’offrir une vue d’ensemble des capacités des PFAs dans les travaux liés au changement climatique. Les résultats montrent que, bien que les PFAs existent encore sous une protection nationale comme du temps de l’ère coloniale, la majorité des pays à forêts humides les ont vu se transformer, passant de la simple mise en exécution d’une protection et d’une conservation forestière à des approches participatives centrées sur le facteur humain. Plusieurs facteurs ont contribués à cette évolution, le principal étant le fait que le secteur forestier actuel inclut un développement durable qui souligne un mouvement vers une utilisation des ressource durable plutôt qu’une conservation »à l’ancienne ». Plus important encore est le fait que les PFAs ne sont pas seulement chargées de s’occuper de la foresterie traditionnelle, mais aussi du travail lié au changement climatique au niveau forestier, en réponse à de nouveaux et à d’émergeants défis environnementaux. Cependant, les PFAs manquent de capacités physiques, humaines et financières pour mettre leur travail en exécution, et ce, dû à un manque de fonds, car ils ne sont pas une priorité importante dans les budgets nationaux, en dépit du changement de vision. De plus, on observe un manque dans la participation des parties prenantes, un accès et un partage équitable des bénéfices vague, une capacité inadéquate d’estimer et de faire des rapports sur les inventaires des gaz de l’effet-serre ( GHG), et une carence d’application du Guide de bonne pratique (GPG) du Panel inter-gouvernemental sur le changement climatique (IPCC).
Le travail des Administrations des forêts publiques (PFAs) a évolué de gestion forestière en gestion forestière durable, puis en gestion des forêts et des terres forestières pour les services et les produits de l’écosystème et enfin en atténuation du changement climatique et à une adaptation à ce dernier. L’objectif de cette étude et d’offrir une vue d’ensemble des capacités des PFAs dans les travaux liés au changement climatique. Les résultats montrent que, bien que les PFAs existent encore sous une protection nationale comme du temps de l’ère coloniale, la majorité des pays à forêts humides les ont vu se transformer, passant de la simple mise en exécution d’une protection et d’une conservation forestière à des approches participatives centrées sur le facteur humain. Plusieurs facteurs ont contribués à cette évolution, le principal étant le fait que le secteur forestier actuel inclut un développement durable qui souligne un mouvement vers une utilisation des ressource durable plutôt qu’une conservation »à l’ancienne ». Plus important encore est le fait que les PFAs ne sont pas seulement chargées de s’occuper de la foresterie traditionnelle, mais aussi du travail lié au changement climatique au niveau forestier, en réponse à de nouveaux et à d’émergeants défis environnementaux. Cependant, les PFAs manquent de capacités physiques, humaines et financières pour mettre leur travail en exécution, et ce, dû à un manque de fonds, car ils ne sont pas une priorité importante dans les budgets nationaux, en dépit du changement de vision. De plus, on observe un manque dans la participation des parties prenantes, un accès et un partage équitable des bénéfices vague, une capacité inadéquate d’estimer et de faire des rapports sur les inventaires des gaz de l’effet-serre ( GHG), et une carence d’application du Guide de bonne pratique (GPG) du Panel inter-gouvernemental sur le changement climatique (IPCC).
Description
This paper draws primarily, but not exclusively, from a body
of review articles commissioned by the African Forest Forum
in 2012/2013, and covering several countries in
Sub-Sahara Africa.
Keywords
Adaptation, Climate change, Mitigation, Sustainable forest management, Public forest administration (PFA)
Sustainable Development Goals
Citation
Dlamini, C, Larwanou, M & Chirwa, WPC 2015, 'A brief overview of the capacities of public forest administrations in climate change work in the moist forests countries of Sub-Saharan Africa', International Forestry Review, vol. 17, pp. 53-66.